Modeste proposition pour empêcher les enfants des pauvres d'être à la charge de leurs parents ou leur pays, et pour les rendre utiles au public (Traduction conjointe Thierry Gillyboeuf ; Postface de Gilles Tordjman)

Traduit de l'ANGLAIS (IRLANDE) par LILI SZTAJN

À propos

« Mon intention n'est pas de m'en tenir aux seuls enfants des mendiants avérés ; mon projet [...] se propose d'englober tous les enfants d'un âge donné dont les parents sont en vérité aussi incapables d'assurer la subsistance que ceux qui nous demandent la charité dans les rues. »
Trois ans après les Voyages de Gulliver, Jonathan Swift pousse la logique économique à son terme : puisque chacun doit contribuer à la richesse commune, les pauvres et leurs enfants doivent être réinsérés dans ce cycle.
Quitte à ce que cela soit de la plus folle manière.


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  • Auteur(s)

    Jonathan Swift

  • Traducteur

    LILI SZTAJN

  • Éditeur

    Mille Et Une Nuits

  • Distributeur

    Hachette

  • Date de parution

    22/05/2024

  • Collection

    La Petite Collection

  • EAN

    9782755508673

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    64 Pages

  • Longueur

    14.9 cm

  • Largeur

    10.5 cm

  • Épaisseur

    0.6 cm

  • Poids

    48 g

  • Support principal

    Poche

Jonathan Swift

Jonathan Swift ne fut pas uniquement l'auteur mondialement connu des Voyages de Gulliver. Né en 1667 à Dublin, il fut tour à tour secrétaire d'un diplomate, docteur, doyen de la cathédrale de Saint Patrick de Dublin, précepteur d'une jeune fille, Esther Johnson, à qui il adressa le Journal à Stella... Avec ses amis John Gay, Alexander Pope, lord Bolingbroke et John Arbuthnot, l'écrivain irlandais fonde « le Scriblerus Club », attelé à vilipender la société de l'époque sous la forme de pamphlets, publiés sous le pseudonyme de Martin Scriblerus. Engagé dans les luttes littéraires, religieuses et politiques de son temps, Swift est satiriste à la mesure de sa misanthropie. Isolement qui ne l'empêche pas d'entretenir une profonde amitié avec d'éminents esprits de l'Angleterre du XVIIIe siècle, révélée dans sa Correspondance avec le Scriblerus Club (Allia, 2005). Il meurt en 1745 à Dublin.

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