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Éditeurs
Rue De L'Echiquier
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Coopérer et se faire confiance par tous les temps
Eloi Laurent
- Rue De L'Echiquier
- Les Incisives
- 5 Avril 2024
- 9782374254371
Face à la polarisation du débat public et aux crises multiples, Éloi Laurent défend une autre voie : la coopération.
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Les limites à la croissance (dans un monde fini)
Denis Meadows, Donella Meadows, Jorgen Randers
- Rue De L'Echiquier
- L'ecopoche
- 3 Mars 2022
- 9782374253329
En 1972, quatre jeunes scientifiques du MIT rédigent à la demande du Club de Rome un rapport qu'ils intitulent The Limits to Growth et qui établit, pour la première fois, les conséquences dramatiques d'une croissance exponentielle dans un monde fini.
En 2004, quand les auteurs enrichissent leur analyse de données accumulées durant trois décennies d'expansion sans limites, l'impact destructeur des activités humaines sur les processus naturels les conforte définitivement dans leur raisonnement.
En 1972, la problématique centrale était : « comment éviter le dépassement » ; en 2004, l'enjeu est alors : « comment procéder pour que nos activités ralentissent et puissent tenir dans les limites de la planète ? » ; désormais, les limites sont dépassées : que nous reste-t-il à envisager ?
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De quoi Total est-elle la somme ? histoire et anatomie d'un pouvoir
Alain Deneault
- Rue De L'Echiquier
- L'ecopoche
- 20 Octobre 2023
- 9782374253442
« Total » : c'est ainsi qu'ils ont choisi de la nommer, comme dans un mauvais film tout en hyperboles. Active dans plus de 130 pays, cette multinationale s'affaire à exploiter, traiter et distribuer des produits issus du pétrole, tout en oeuvrant dans le gaz, l'énergie solaire, la production électrique et l'industrie chimique. Son capital traduit le fait d'une histoire chargée - corruption, soutien à des dictatures, manipulation des cours, évitement fiscal... -, couverte par l'état du droit ou par la complicité des États.
Ce capital est le fruit d'actions tentaculaires sur un plan politique et économique, que le philosophe Alain Deneault détaille et analyse dans cet essai magistral. Fruit d'un long travail de documentation, il démontre comment Total (désormais TotalEnergies) impose sa loi, indépendamment des textes législatifs, des institutions judiciaires et du pouvoir politique, ou grâce à eux. -
Se libérer du superflu vers une économie de post croissance
Niko Paech
- Rue De L'Echiquier
- Initial(e)s Dd
- 4 Novembre 2016
- 9782374250571
Se libérer du superflu. Vers une économie de post-croissance oscille entre le pamphlet et l'essai. L'auteur introduit à la critique écologique de la croissance économique et tente de concevoir une société nouvelle, débarrassée de la contrainte du « toujours plus », dans ses implications matérielles et psychologiques.
Niko Paech détaille d'abord le processus contemporain de suppression des limites à la fois géographiques, temporelles et corporelles.
En subventionnant par exemple les énergies fossiles, les infrastructures inutiles, les transports et l'agriculture polluants, les États sont au coeur d'un modèle de société absurde et destructeur.
Il revient ensuite sur l'histoire de la pensée économique et montre à quel point celle-ci s'est peu à peu détachée de la réalité écologique :
Néolibéraux et marxistes ont en commun l'incompréhension du rôle de l'énergie dans la dynamique de croissance, et de l'exploitation des fossiles en particulier. Il s'attaque également au « mythe du découplage » ou de la « croissance verte » : l'idée qu'une autre croissance serait possible, car propre, fondée sur l'innovation et l'information. L'auteur approfondit à cette fin les différentes formes d' « effets rebonds » : matériel, financier, psychologique.
Par exemple, les énergies renouvelables sont loin d'être la panacée, si les éoliennes et les panneaux solaires prennent la place des champs et des forêts et servent à justifier le maintien de notre niveau de consommation. Se dégage alors ce qui est sans doute l'affirmation essentielle du livre : « Aucun objet ni aucune technologie n'est en soi écologique, seuls les modes de vie peuvent l'être. » Niko Paech enfin, esquisse les contours d'une société de « post-croissance ». Dans celle-ci l'école serait réformée pour permettre aux enfants de reprendre contact avec notre environnement et nos aptitudes corporelles. D'autres acteurs seraient amenés à y jouer un rôle essentiel, comme les administrations locales et les entreprises, auxquelles une longue sous-section est consacrée : entreprises de construction d'objets à la fois utiles et réparables, de réparation d'objets, d'alimentation et de distribution écologiques. Les gens y travailleraient en moyenne 20 heures par semaine. Grâce à l'autosubsistance et au partage d'objets, ils auraient moins besoin d'argent.
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L'économie qu'on aime ! relocalisations, création d'emplois, croissance : de nouvelles solutions face à la crise
Amandine Barthélémy, Sophie Keller, Romain Slitine
- Rue De L'Echiquier
- 1 Mai 2013
- 9782917770559
Chacun en conviendra : l'Europe et la France sont confrontés à une crise sans précédent. Sur les questions économiques fondamentales que sont les délocalisations, le chômage structurel, l'exclusion ou la croissance, il est plus que jamais nécessaire de battre en brèche les idées reçues pour explorer des pratiques nouvelles. Conçu comme un parcours de déconstruction des réponses convenues aux problèmes qui se posent à notre économie, ce court essai s'appuie sur de nombreuses initiatives innovantes d'entreprises et indique le chemin pour généraliser leurs pratiques. Ainsi, on a trop souvent tendance à considérer que les délocalisations, dans une économie mondialisée, seraient la seule façon de préserver la compétitivité des entreprises françaises. Or, à l'échelle d'un territoire, de nombreux entrepreneurs prouvent le contraire : dans la Drôme, qui a pourtant fortement souffert du déclin de l'industrie locale, le Groupe Archer a par exemple mené à bien des actions de développement économique et de création d'emploi en s'appuyant sur un partenariat robuste avec les PME et les collectivités locales. En tenant un « discours de la preuve », L'économie qu'on aime ! incite chacun à se mettre en mouvement pour innover dans un contexte morose. Son originalité est d'amener à comprendre que la fatalité peut être dépassée par l'action. Ce livre a l'ambition, au-delà des situations particulières analysées, de proposer un nouveau modèle d'économie.
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Petit manuel à l'usage de ceux qui paient des impôts et voudraient bien savoir pourquoi
Agnès Michel
- Rue De L'Echiquier
- 11 Mars 2016
- 9782374250366
Le « ras-le-bol fiscal » est sur toutes les lèvres, dans les médias, au PMU du coin ou lors d'un déjeuner en famille ou entre amis. Pourtant, nul n'ignore, au fond, que payer ses impôts est a priori un acte fondamental de solidarité entre citoyens, le socle même de la cohésion sociale dans la vie de la Cité. Alors pourquoi un tel rejet ? Pourquoi ce soupçon continuel d'injustice et d'abus ? Peut-être parce que la logique fiscale est obscure et sibylline - sauf pour ceux qui ont les moyens de se payer les services d'un expert. En tout état de cause, elle est souvent incomprise et apparaît bien peu démocratique.
Partant d'une analyse minutieuse et péda- gogique de tous les documents, volumineux et complexes, que les pouvoirs publics mettent à notre disposition sur ce sujet, Agnès Michel nous guide à travers le labyrinthe de notre fiscalité quotidienne. Elle décrypte d'une plume critique une multiplicité de mécanismes auxquels nous sommes régulièrement confrontés sans rien y comprendre.
Surtout, elle explore en détail quatre solutions pour simplifier et démocratiser la chose fiscale :
- le prélèvement à la source, - la suppression de toutes les niches fiscales, - le paiement même symbolique de l'impôt dès le premier euro pour que chacun se sente légitime au sein de la Cité, - la progressivité de tous les impôts.
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La voie de l'innovation sociale
Hugues Sibille
- Rue De L'Echiquier
- Conversations Solidaires
- 15 Novembre 2011
- 9782917770306
Ce livre d'entretiens reprend d'abord le fil d'un parcours, marqué par le catholicisme social d'une enfance lyonnaise.
Le livre revient également sur une carrière politique : depuis son engagement auprès de Martine Aubry, avec qui il prépare le programme « Nouveaux Services-Nouveaux Emplois » - qui débouche sur la création des fameux Emplois Jeunes -, à ses fonctions de délégué interministériel à l'économie sociale, de 1998 à 2001.
Mais c'est surtout à l'action menée par Hugues Sibille au service de l'innovation sociale que se consacre l'ouvrage. Tout d'abord dans ses fonctions de directeur des partenariats en charge de l'économie sociale et solidaire à la Caisse des dépôts et des consignations, où il met en place des dispositifs de soutien au monde associatif (les Dispositifs locaux d'acccompagnement, ou DLA), mais aussi à l'entrepreneuriat social ou au microcrédit personnel. Et depuis quelques années en tant que vice-président du Crédit Coopératif, où il s'emploie à favoriser l'émergence d'un entrepreunariat social décomplexé et ouvert sur le monde, qui puisse favoriser une véritable « biodiversité économique ».
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Une si vive résistance ; entretien avec Claude Alphandéry
Claude Alphandéry
- Rue De L'Echiquier
- Conversations Solidaires
- 11 Janvier 2011
- 9782917770191
" Prophète joyeux ", " banquier altruiste ", " éternel résistant ", " voyou affectueux a...
De Michel Rocard à Edgar Morin, chacun a sa formule pour évoquer Claude Alphandéry, qui a investi près de 90 ans d'énergie et d'idées au service de l'intérêt général. Il est aujourd'hui considéré comme l'une des grandes voix de l'Economie sociale et solidaire, cette " autre économie " qui fait passer les hommes, l'environnement et les territoires avant le profit. Résistant à 18 ans, membre du Parti communiste jusqu'en 1956, haut fonctionnaire à la direction du Trésor, président de la première banque française spécialisée dans l'habitat social...
Une carrière d'exception, qui l'a aussi conduit à développer France Active, premier réseau de finance solidaire en France.
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Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles ; sur les pas du fondateur du groupe SOS
Jean-marc Borello
- Rue De L'Echiquier
- Conversations Solidaires
- 13 Avril 2013
- 9782917770498
Depuis sa création en 1984, le Groupe SOS connaît une croissance exponentielle : il compte aujourd'hui 10 000 salariés qui agissent chaque année auprès d'un million d'hommes et de femmes, gérant des hôpitaux, des maisons de retraite médicalisées, des centres d'hébergement pour sans-abri, des foyers pour enfants en difficulté, des cabinets de conseil en développement durable, un fonds de financement, un réseau de radios associatives...
Quatre ans après la parution de SOS contre toute attente, ce livre donne à nouveau la parole à son fondateur. Jean-Marc Borello revient sur l'histoire et le développement du Groupe SOS, dont il décrit les objectifs et le mode d'organisation original. Son credo : un grand groupe de l'économie sociale et solidaire peut rivaliser avec d'importantes entreprises privées, sans renoncer au principe de non-lucrativité ni à ses valeurs. Cet ouvrage est aussi le portrait d'un homme pour qui la prise de risque est le moteur essentiel de toute action, pour qui " l'impuissance, c'est l'incapacité d'essayer et non l'incapacité de réussir ".
" Je ne sais plus qui a dit : "Le meilleur moyen de ne pas avoir peur de l'avenir, c'est de le construire." Ce qui me convient bien aujourd'hui avec la maison SOS, c'est de voir que d'autres suivent la même voie pour mettre l'efficacité économique au service de l'intérêt général. L'important est surtout de continuer à réfléchir à une manière d'aborder les sujets sous un angle différent. " (Jean-Marc Borello)
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Pour une finance positive ; parce que l'argent a aussi des vertus
Hervé Guez, Philippe Zaouati
- Rue De L'Echiquier
- 29 Septembre 2014
- 9782917770641
Une finance au service de l'intérêt général Pour certains, la finance reste « l'ennemi », le responsable unique de la crise économique, le symbole d'un modèle dépassé qui nous conduit inévitablement à une catastrophe sociale et écologique. La « financiarisation »de l'économie et ses conséquences - prise de risque excessive poussée par des modes de rémunération excessifs, creusement historique des inégalités - sont de fait au coeur de l'implosion du système financier en 2007 et 2008, avec en point d 'orgue la crise des subprimes, ou comment endetter au-delà du raisonnable ses clients sans en supporter le risque.
Quelle fut la réponse apportée partout dans le monde à ces dysfonctionnements? Une avalanche inédite de régulations :
Séparation des activités pour compte propre des banques, renforcement des exigences de fonds propres ... Pour de nombreuse raisons, à commencer par les difficultés de mise en oeuvre, on peut douter de l'efficacité de cette réponse.
L'urgence, aujourd'hui, c'est de réintroduire de l'altruisme et le souci des générations futures. Cette économie positive appelLe une finance positive, qui innove au service de L'intérêt général. Les besoins de financement pour changer de modèle économique en tenant compte de La contrainte environnementale sont en effet immenses: pour soutenir les innovations technoLogiques et sociaLes, pour construire de nouvelles infrastructures durables, pour financer La transition énergétique.
L'ambition de ce livre est de montrer comment cette finance réinventée peut être un levier puissant pour orienter l'épargne vers les besoins d'une économie positive.
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Le capital de l'abondance à l'utilité
Philipponnat Thierry
- Rue De L'Echiquier
- 2 Mars 2017
- 9782374250601
Le capital n'a jamais été aussi abondant :
Les marchés financiers regorgent de liquidités, l'épargne des entreprises et des particuliers atteint un niveau sans précédent... Pourtant, alors que la théorie économique nous enseigne qu'un capital abondant est source de prospérité, l'économie des pays occidentaux semble largement en panne.
Alors que se passe-t-il ? Et si nous avions construit un système où le capital, même abondant, est dans une large mesure détourné de sa destination naturelle que devrait être l'économie productive ?
Abordant la question économique par une analyse des structures et des connexions en place - autrement dit, d'où vient l'argent et où va-t-il ? -, Thierry Philipponnat met en lumière la façon dont une partie importante du capital est détournée de la destination qui devrait être la sienne, et comment le capital, lorsqu'il atteint l'économie productive, finance plus souvent l'économie d'hier que celle de demain. Il explique également pourquoi, lorsqu'il est utilisé dans les bonnes conditions, le capital est non seulement source de développement économique mais également force de progrès sociétal. L'analyse du système financier débouche sur une description des moyens à mettre en oeuvre pour que les immenses ressources financières disponibles soient effectivement utiles à l'économie et à la société.
Loin de toute considération idéologique, ce livre brosse le tableau le capital pour ce qu'il est : un outil qui, en tant que tel, n'est ni bon ni mauvais. Tout dépend de l'usage qui en est fait.
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L'économie qu'on aime ! relocalisations, création d'emplois, croissance : de nouvelles solutions face à la crise
Collectif
- Rue De L'Echiquier
- 16 Mars 2017
- 9782374250724
Sur les questions fondamentales que sont les délocalisations, le chômage structurel, l'exclusion ou la croissance, il est plus que jamais nécessaire de battre en brèche les idées reçues pour explorer des pratiques nouvelles.
Rédigé par un collectif de jeunes économistes et entrepreneurs, ce court essai s'appuie sur de nombreuses innovations d'entreprises, en particulier celle du groupe Archer dans la Drôme, et indique le chemin pour généraliser leurs pratiques.
En tenant un « discours de la preuve », L'économie qu'on aime !
Offre des pistes d'action concrètes à chacun - entrepreneur, dirigeant, élu ou citoyen - pour innover dans un contexte morose.
Ce livre a l'ambition, au-delà des initiatives analysées, de proposer un nouveau modèle d'économie.