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Maisonneuve Larose
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Mondialisation, exclusion et développement africain Tome 2
Collectif
- Maisonneuve Larose
- Economies D'afrique
- 4 Janvier 2007
- 9782706819810
Le CEREG a proposé, au mois de février 2003, un premier recueil de textes du Colloque Georges Ngango sous la forme de Mélanges publiés aux Editions Montchrestien (Paris), intitulés Dynamiques de développement : débats théoriques et enjeux politiques à l'aube du 21ème siècle, sous la direction de Bruno Bekolo-Ebe, Touna Mama et Séraphin Magloire Fouda.
Les contributions retenues dans cet ouvrage examinaient alors l'apport du Professeur Georges Walter Ngango à l'économie du développement, revisitaient un certain nombre de thèmes qui lui étaient chers et / ou resituaient son action d'homme politique et d'économiste catholique, humaniste engagé, dans la problématique générale du développement. La richesse et la diversité des contributions et des échanges lors du colloque de février 2001 ont été telles que justice n'aurait pas été faite aux participants, en laissant de côté des communications intéressantes et pertinentes qui ont contribué à animer les débats pendant les trois jours qu'a duré le Colloque.
Le CEREG est ainsi heureux de poursuivre l'aventure à travers la publication d'un deuxième ouvrage collectif en deux tomes qui, bien que n'étant pas des Mélanges au sens strict du terme, n'en comporte pas moins les caractéristiques qui sont ici la pluridisciplinarité, la variété géographique des contributeurs, l'hommage des disciples au maître. Les contributions retenues sont ici proposées sous le titre Mondialisation, exclusion et développement africain : stratégies des acteurs publics et privés.
Ce titre prend en compte les principales préoccupations du Professeur Georges Walter Ngango au cours des années qui ont précédé sa disparition i.e., la place et le rôle de l'Afrique dans la mondialisation, les voies pour le continent d'en tirer quelque bénéfice pour un développement durable, et, enfin, les menaces d'exclusion susceptibles d'entraîner la marginalisation non seulement des individus, mais aussi des Etats.
En filigrane de ces préoccupations, se retrouvent une analyse des conséquences des réformes économiques et l'examen des sources de la croissance, en général, et de l'investissement, en particulier, qu'il soit le fait des acteurs publics ou des acteurs privés.
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Nous sommes dans des années de croissance économique, mais aussi de transformation pour un grand nombre d'entreprises.
Les conditions de la concurrence changent : tout en réduisant leurs coûts, les entreprises doivent sans cesse améliorer le service à leurs clients, la qualité de leurs produits, leur réactivité. L'Internet est l'un des facteurs de cette mutation. Il est aussi un formidable outil au service des entreprises, quelle que soit leur taille. Mieux communiquer en interne ou avec ses partenaires, mieux connaître ses marchés et sa concurrence, produire plus efficacement, étendre ou optimiser ses réseaux de distribution, acheter mieux et moins cher, vendre en France ou à l'export : dans tous les domaines, l'Internet peut contribuer à la stratégie de votre entreprise.
Cet ouvrage pratique, destiné en priorité aux dirigeants de PME et responsables de projet, vous livre les éléments d'information et de méthode pour utiliser au mieux l'Internet et le commerce électronique dans votre entreprise.
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Manuel de formation aux politiques agricoles en afrique
Herbel D
- Maisonneuve Larose
- 20 Novembre 2003
- 9782706817489
Contribuer à éradiquer la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire, réussir l'intégration sur les marchés nationaux, sous-régionaux et internationaux, privilégier la durabilité de leurs performances sur le long terme, autant de défis auxquels les agricultures sub-sahariennes font face.
Pour les relever les Etats ont largement libéralisé le secteur agricole. Dès lors, dans cet environnement, les décisions de production et d'investissement sont prises, in fine, par des opérateurs privés. pour assurer au secteur agricole une croissance soutenue, durable et équitable, l'Etat doit mettre en place des politiques qui orientent les décisions des agents économiques. Le présent manuel apporte des outils pour Faciliter le dialogue et la concertation avec l'ensemble des opérateurs économiques dans la négociation d'une politique agricole incitative.
Cet ouvrage apporte les outils et les méthodes pour mener à bien une réflexion prospective qui dégage les défis et enjeux majeurs des agricultures avec leurs grandes tendances, leurs potentiels et les menaces. Il permet d'identifier les logiques des acteurs avec leurs contraintes, leurs interdépendances et les conflits d'intérêts. L'ouvrage fournit aux acteurs des politiques agricoles les outils d'aide à la prise de décision pour arrêter les choix stratégiques et mener les nécessaires arbitrages.
En dernier lieu, il guide la mise en oeuvre d'une démarche concertée qui identifie des objectifs partagés et débouche sur la mise en oeuvre de stratégies communes des acteurs.
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Actualités scientifiques en économie
Blancheton/Foud
- Maisonneuve Larose
- 4 Octobre 2007
- 9782706819520
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Les subventions que certains pays, notamment les Etats-Unis, consentent à leurs producteurs de coton concourent à la baisse des cours mondiaux du coton.
Les pertes directes des pays producteurs de coton d'Afrique de l'Ouest et du Centre, pays parmi les plus pauvres de la planète, dépassaient les 250 millions de dollars. Dans le même temps, 25 000 producteurs américains de coton recevaient plus de 2 milliards de dollars de subventions. Le 16 mai 2003, quatre pays, le Bénin, le Burkina Faso, le Mali et le Tchad saisissaient l'Organisation mondiale du commerce (OMC) pour trouver une solution durable à la crise cotonnière.
L'incohérence de la situation - les producteurs ne parviennent plus à vivre de leur travail alors que le coton constitue une des rares réussites d'accès au marché - a valu un soutien politique et médiatique aussi important qu'inattendu aux pays africains. Autre fait rarissime, depuis Cancun, les institutions internationales en charge du développement et du commerce se sont engagées à trouver des solutions idoines au dossier sur le coton.
Ce livre dresse un bilan de ce que l'Initiative coton signifie : un véritable exercice d'apprentissage pour l'ensemble des acteurs impliqués. Les Etats n'ont pas hésité à nouer des alliances inédites " avec des industriels, des organisations de producteurs agricoles, voire des organisations non gouvernementales. L'initiative illustre les gains d'un " jeu à somme positive " qui découle d'une stratégie de coopération entre acteurs.
Avec l'Initiative se sont mises en place des dynamiques nouvelles et irréversibles qui posent les fondements d'une meilleure prise en considération des questions africaines dans cette mondialisation. Pour autant, l'Initiative n'est pas suffisante pour résoudre durablement la compétitivité des filières cotonnières africaines. Les engagements des bailleurs de fonds ne se sont pas traduits dans les faits à l'exception de la Coopération française.
Une mobilisation d'ensemble est indispensable pour donner aux producteurs de coton les capacités d'investissement nécessaires pour maintenir leur compétitivité.
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Mondialisation, exclusion et développement africain Tome 1
Collectif
- Maisonneuve Larose
- Economies D'afrique
- 4 Janvier 2007
- 9782706819803
Le CEREG a proposé, au mois de février 2003, un premier recueil de textes du Colloque Georges Ngango sous la forme de Mélanges publiés aux Editions Montchrestien (Paris), intitulés Dynamiques de développement : débats théoriques et enjeux politiques à l'aube du 21ème siècle, sous la direction de Bruno Bekolo-Ebe, Touna Mama et Séraphin Magloire Fouda.
Les contributions retenues dans cet ouvrage examinaient alors l'apport du Professeur Georges Walter Ngango à l'économie du développement, revisitaient un certain nombre de thèmes qui lui étaient chers et / ou resituaient son action d'homme politique et d'économiste catholique, humaniste engagé, dans la problématique générale du développement. La richesse et la diversité des contributions et des échanges lors du colloque de février 2001 ont été telles que justice n'aurait pas été faite aux participants, en laissant de côté des communications intéressantes et pertinentes qui ont contribué à animer les débats pendant les trois jours qu'a duré le Colloque.
Le CEREG est ainsi heureux de poursuivre l'aventure à travers la publication d'un deuxième ouvrage collectif en deux tomes qui, bien que n'étant pas des Mélanges au sens strict du terme, n'en comporte pas moins les caractéristiques qui sont ici la pluridisciplinarité, la variété géographique des contributeurs, l'hommage des disciples au maître. Les contributions retenues sont ici proposées sous le titre Mondialisation, exclusion et développement africain : stratégies des acteurs publics et privés.
Ce titre prend en compte les principales préoccupations du Professeur Georges Walter Ngango au cours des années qui ont précédé sa disparition i.e., la place et le rôle de l'Afrique dans la mondialisation, les voies pour le continent d'en tirer quelque bénéfice pour un développement durable, et, enfin, les menaces d'exclusion susceptibles d'entraîner la marginalisation non seulement des individus, mais aussi des Etats.
En filigrane de ces préoccupations, se retrouvent une analyse des conséquences des réformes économiques et l'examen des sources de la croissance, en général, et de l'investissement, en particulier, qu'il soit le fait des acteurs publics ou des acteurs privés.
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Les économies de l'afrique centrale (édition 2006)
Collectif
- Maisonneuve Larose
- 4 Janvier 2007
- 9782706819827
Les pays de la Communauté Économique des États de l'Afrique centrale ont enregistré en 2005 une croissance soutenue qui s'est établie à 7,3 %.
Cette performance s'explique particulièrement par le dynamisme du secteur pétrolier angolais et la reprise des activités économiques rendue possible par la fin des conflits en République Démocratique du Congo et en République Centrafricaine. Ce résultat est néanmoins en retrait par rapport à 2004 (année durant laquelle la croissance a atteint plus de 8 %) en raison du ralentissement de l'activité pétrolière en Guinée Équatoriale et au Tchad.
Il est prévu pour 2006 une croissance encore plus forte qu'en 2004 avec 9,2 %. Cette croissance sera essentiellement tirée par la production pétrolière en hausse constante en Angola conjuguée à des cours du pétrole record qui sont restés élevés (largement au-dessus de 70 dollars) pendant les huit premiers mois de 2006. Bien qu'il faille se réjouir de cette croissance record (la seconde en trois ans) il ne faut pas oublier qu'elle cache de grandes disparités entre pays de la sous-région.
La plupart des taux de croissance de ces derniers demeurent encore inférieurs au taux de référence de 7 nécessaire pour réduire la pauvreté de moitié d'ici 2015. Par ailleurs, les pays d'Afrique centrale demeurent fragiles, et ne disposent pas des instruments efficaces leur permettant de minimiser les conséquences des chocs internes (aléas climatiques, instabilité politique, etc.) et externes (volatilité du cours des matières premières).
Le manque de diversification économique est un facteur qui vient aggraver la vulnérabilité des économies, notamment pétrolières, de la sous-région. Les gouvernements d'Afrique centrale doivent, par conséquent, continuer à fournir des efforts pour la mise en place des conditions favorables au développement de moteurs internes de croissance qui contribueraient à atténuer l'exposition de la sous-région aux chocs internes et externes.
Ils doivent pour ce faire veiller (I) au renforcement de la stabilité macroéconomique, (il) à une plus grande transparence et à une meilleure gestion des revenus pétroliers, (III) à la promotion de la diversification économique et enfin (IV) au développement du secteur privé.