Les auteurs invitent à sortir des débats idéologiques pour penser la refonte du droit du travail sur des bases réalistes, en prenant en compte notamment la mondialisation et l'essor du numérique. Mêlant analyses juridique et économiques, ils pointent un excès de normes qui dessert tous les acteurs (partenaires sociaux, employeurs, salariés et chômeurs).